Nous fluctuons entre peurs et désirs. Nous naviguons entre nos contradictions. Déçus, nous aimerions instaurer un peu de stabilité, les valeurs pérennes produisant les effets attendus.
Mais pour cela, les causes entraînant les effets, c’est bien aux causes qu’il conviendra de s’intéresser.
Nous provoquons les événements qui se présentent à nous.
Notre « responsabilité » est donc engagée.
C’est « la faute aux autres » mène à l’impasse de l’existence. Déléguant notre responsabilité nous nous soumettons au verdict d’un autre.
Trouver la cohérence entre mes pensées et mes actions, aujourd’hui et demain, est l’assise de notre temple intérieur. C’est cette cohérence assumée qui permet, au-delà des variations de l’actualité, les résultats dans le temps et qui donne force et vigueur à nos engagements. Cette cohérence nous porte littéralement en avant en nous ouvrant le champ des possibles.
La meilleure manière de ne pas réussir ce que l’on entreprend est de se laisser emporter par ses contradictions. Les contraires brisent la volonté et neutralisent l’énergie créatrice de l’esprit.
La confiance se dresse naturellement. Le cobra veille sur la coiffe de Pharaon.
